La revue électronique de l'Institut et Musée Voltaire
ISSN 1660-7643
       
         
   
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La Gazette des Délices :
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Près de dix ans après sa création, la Gazette des Délices fait peau neuve ! Sur les six rubriques connues de nos lecteurs, seules « Actualités » et « Voltaire nous écrit » survivront le trimestre prochain. Encore « Voltaire nous écrit » accueillera-t-elle, en plus de ses propres sujets, ceux qui étaient précédemment traités dans « A propos de ». Quatre rubriques respectivement intitulées « Grand Salon », « Lieux », « Voix publiques » et « Entre livres » verront le jour : nous en proposons dans notre ultime « A propos de » une description sommaire. Nous serons toujours heureux d’accueillir les remarques et les commentaires de nos lecteurs, dont une synthèse sera proposée en fin d’année, en guise de premier bilan.
 

Prolongation de Nota Bene

L’exposition multimedia Nota Bene : de la musique avec Rousseau qui devait s’achever le 2 mars a été prolongée jusqu’au 29 juin 2013. Un livret explicatif, avec reproduction de tous les cartels et toutes les références musicales, sera de surcroît disponible à la loge de la Bibliothèque de Genève, parc des Bastions, ainsi qu’à l’IMV. Ce sont là d’excellentes nouvelles pour celles et ceux qui, pris dans le tourbillon de l’année du tricentenaire, n’auraient pas encore eu le temps d’écouter les neuf heures d’enregistrement disponibles à la salle Ami Lullin. Plusieurs de ces enregistrements seront eux-mêmes modifiés : le Pygmalion de Jean-Marie Curti commandé par la Bibliothèque musicale l’an dernier et des extraits de JJR citoyen de Genève seront ainsi accessibles au public.
 

Louis Dumur à l’honneur


La Société Louis Dumur, créée le 5 janvier 2011 afin de pérenniser la mémoire de l’écrivain suisse Louis Dumur, auteur du fameux Centenaire de Jean-Jacques illustré par Gustave Wendt, tiendra son assemblée générale ce printemps dans le Grand Salon des Délices. Très heureuse d’apprendre la prochaine réédition d’Un Estomac d’Autriche aux éditions inFolio, elle participera, chez ce même éditeur, à la prochaine réédition de Nach Paris. Sabine Maffre, conservatrice de la Bibliothèque Carnegie à Reims, vient d’ailleurs d’accueillir les membres du bureau de la Société : gageons qu’un lien suivi entre la Bibliothèque Carnegie, l’Institut et Musée Voltaire (toujours intéressé à étudier chez des auteurs contemporains les différents modes de réception des Lumières) et la Société Louis Dumur permette d’aboutir à plusieurs réalisations concrètes en matière de conservation patrimoniale et de publications. 


Adieu Jean-Jacques

« C’en est enfin fini ! » disent certains. « Rousseau ? Plus avant cent cinquante ans ! » clament d’autres. Et, de fait, le tricentenaire de la naissance de l’illustre philosophe est bel et bien terminé. La séance de clôture a d’ailleurs donné lieu, dans les locaux de la Maison de Rousseau et de la Littérature, au 40 Grand Rue (maison natale de Rousseau, faut-il le rappeler) à une séance des plus émouvantes. Isabelle Ferrari, directrice du lieu, avait en effet demandé à chacun des intervenants ou des porteurs de projet de 2012 Rousseau pour tous de lire un texte de Rousseau, assez court bien sûr, mais qui leur parlât particulièrement. Jean Starobinski a ainsi lu un extrait d’Émile ou de l’éducation, tandis que le Dictionnaire de musique, la Nouvelle Héloïse, les Confessions, les Dialogues, les Rêveries du promeneur solitaire, les textes politiques et jusqu’aux Lettres écrites de la montagne étaient mis à contribution par les acteurs du tricentenaire. Lesquels, contrairement à certains esprits boudeurs, se sont bien promis de ne pas attendre cent cinquante ans pour reparler de Rousseau !



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© IMV Genève | 06.03.2013