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Parution du premier numéro des Voltairiana
Voltaire
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Poème sur le désastre de Lisbonne
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Afin
de compléter notre exposition Tremblez, terriens !
Voltaire et le tremblement de terre de Lisbonne (1755), nous
vous proposons aujourd’hui quelques liens vers des sites
totalement ou partiellement consacrés à cet événement.
Ils vous permettront d’approfondir votre vision du désastre
et de mieux entrevoir la portée historique et philosophique
du drame qui s’est joué, en terre portugaise, voici
tout juste 250 ans.
Tout bon lecteur, lorsqu’il
tente de s’initier à tel ou tel phénomène,
commence par prendre une bonne encyclopédie. Le réflexe
est le même sur le web, et il s’impose d’autant
plus dans le cas du désastre de Lisbonne que Wikipédia,
célèbre encyclopédie électronique
anglophone, propose sur la journée du 1er novembre 1755
une page interactive très stimulante. Des liens nombreux
permettent de définir des termes techniques ou d’embrasser
avec plus de perspicacité le contexte historique.
Nous voilà prêts,
une fois parcourues les quelques pages qui nous intéressent,
à réellement voir l’événement.
Or pour le voir, rien de mieux que le site du
National Information Service for Earthquake Engineering
(NISEE), que l’on pourrait traduire par «
Centre National d’information sur les mécanismes
des tremblements de terre ». Ce site, que l’on doit
à une équipe de l’Université de Berkeley,
à San Francisco, a réuni la fabuleuse collection
Kozak, dont on peut admirer certaines reproductions à l’Institut
Voltaire. Jan Kozak, géophysicien tchèque, a en
effet réuni une impressionnante collection de gravures
relatives au désastre de Lisbonne. Un site à ne
surtout pas manquer.
Le Centre Culturel Calouste Gulbenkian, basé
à Paris, joue quant à lui le rôle de vitrine
culturelle du Portugal à l’étranger. Il recèle
des fonds imprimés anciens absolument considérables,
tant par leur importance documentaire que par leur intérêt
historique et scientifique. La bibliothèque est actuellement
dirigée par Mme Teresa Salgado, qui a très aimablement
mis à la disposition du musée Voltaire les volumes
les plus marquants de la période allant de 1755 à
la chute du marquis de Pombal.
Signalons enfin les
dossiers historiques proposés sur le net par l’Institut
Camões , lesquels constituent une excellente
base de départ pour qui souhaiterait découvrir,
au-delà des soubresauts et des répliques du désastre
de 1755, les trésors recelés par l’histoire
et la culture portugaises.
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